Vu l’engouement pour mes articles sur la diversification alimentaire et les montagnes de questions, voici un article de F.A.Q (Foire aux Questions) pour nourrir votre curiosité (et vos petits gourmands) au quotidien !
À partir d’environ un an, vous pouvez donner du lait de vache « classique » à votre enfant, à condition qu’il n’ait pas d’allergie ; il est préférable de commencer avec du lait entier, puis de passer au lait demi-écrémé par la suite (si vous le voulez).
Les yaourts peuvent être introduits aux alentours de 6 mois, ou si bébé a du mal à boire son biberon de lait de façon prolongée.
Pas de panique, si bébé boit bien son lait maternel ou infantile et qu’il en a assez, il n’est pas nécessaire de le forcer à manger du yaourt !
Attendez qu’il montre des signes d’appétit pour ce nouveau produit (ou un ras le bol de son biberon de lait), et rassurez-vous, il aura largement le temps d’en manger plus tard !
Et puis, rassurez-vous, même si bébé adore son biberon maintenant, il est fort probable qu’il l’aura abandonné bien avant ses 14 ans !
N’oubliez pas que chaque bébé est unique et que son développement va à son propre rythme.
Choisissez des yaourts natures classiques, des fromages blancs ou des petits suisses (au lait entier de préférence, sinon demi-écrémé c’est bien aussi). Simplicité et efficacité ! 🙂
Évitez les laitages spéciaux pour bébé, souvent pleins de sucres et d’additifs.
Habituez votre bébé au vrai goût du yaourt (SANS SUCRE) ; il aura tout le temps pour découvrir le sucre plus tard ! 🙂
Vous pouvez commencer par donner un yaourt le midi ou au goûter.
0 à 1 mois : 6 à 8 biberons de 60 à 120 ml par jour (environ 400 à 800 ml). Les nouveau-nés ont besoin de petites quantités fréquemment pour répondre à leurs besoins énergétiques et de croissance rapides.
1 à 2 mois : 5 à 6 biberons de 120 à 150 ml par jour (environ 600 à 900 ml). À cet âge, l’estomac de bébé grandit et peut contenir plus de lait à chaque tétée, permettant de réduire légèrement la fréquence.
2 à 4 mois : 5 biberons de 150 à 180 ml par jour (environ 750 à 900 ml). Bébé continue de croître rapidement, et ses besoins nutritionnels augmentent.
4 à 6 mois : 4 à 5 biberons de 180 à 210 ml par jour (environ 720 à 1050 ml). L’introduction progressive des aliments solides commence généralement vers 6 mois, mais le lait reste la principale source de nutrition.
6 à 9 mois : 3 à 4 biberons de 210 à 240 ml par jour (environ 630 à 960 ml). À ce stade, les aliments solides prennent une part plus importante dans l’alimentation de bébé, mais le lait reste essentiel.
9 à 12 mois : 2 à 3 biberons de 210 à 240 ml par jour (environ 420 à 720 ml). Les besoins en lait diminuent car les repas solides deviennent plus variés et plus consistants.
12 mois et plus : Environ 500 ml de lait entier (laitages compris) par jour. À partir d’un an, les besoins en lait se stabilisent, et le lait entier est recommandé pour ses graisses essentielles au développement cérébral.
Ces quantités sont des moyennes et peuvent varier en fonction des besoins individuels de chaque bébé. Il est important de suivre les signaux de faim et de satiété de votre bébé et de consulter un pédiatre pour des conseils personnalisés.
La règle d’Appert, nommée d’après le célèbre inventeur de la conservation des aliments, Nicolas Appert, concerne la quantité de lait adaptée à l’âge et au poids d’un bébé. Pour estimer la quantité de lait nécessaire pour un nourrisson, vous pouvez utiliser la règle d’Appert. (https://www.babybio.fr/fr/conseils/15-la-juste-quantite-de-lait-infantile-pour-votre-bebe)
Il n’y a pas de règle précise concernant l’âge auquel il faut commencer à donner des purées le soir à bébé. En général, cela peut se situer entre 8 et 10 mois, selon le développement individuel de l’enfant. Allez-y s‘il montre des signes de faim le soir, comme se réveiller la nuit ou réclamer un biberon supplémentaire.
Il est généralement recommandé de commencer la diversification alimentaire le midi pour plusieurs raisons :
Bébé est généralement plus éveillé et actif à midi, ce qui lui permettra de mieux se concentrer sur la nourriture et d’apprécier l’expérience.
En cas de réaction allergique ou d’intolérance alimentaire, il sera plus facile de la détecter pendant la journée, lorsque vous êtes plus disponible pour observer votre bébé.
Le repas de midi est souvent le repas le plus copieux de la journée, ce qui permettra à bébé de faire le plein d’énergie pour l’après-midi. (et de plus facilement digérer l’après midi que la nuit)
Pour une diversification alimentaire réussie, visez une viande parfaitement cuite, moelleuse et facile à hacher ou à mixer. Optez pour la cuisson à la vapeur (la plus saine), à l’eau (simple et efficace), au pochage (viande savoureuse) ou au mijoté (viande très tendre).
Les céréales infantiles peuvent être introduites dans l’alimentation de bébé à partir de 4 mois, mais il est important de souligner qu’elles ne constituent ni une obligation ni un substitut au lait maternel ou au lait infantile.
L’introduction des céréales doit se faire de manière progressive et raisonnée, en fonction des besoins et de l’appétit de votre bébé.
Voici quelques situations où les céréales peuvent être utiles :
Bébé se réveille la nuit à cause de la faim : Vous pouvez lui donner une cuillère de céréales infantiles adaptées à son âge, dissoutes dans son biberon du soir, pour le rassasier et favoriser un sommeil plus long.
Bébé réclame son repas du midi deux heures après son biberon du matin : Une cuillère de céréales dans son biberon du midi peut le patienter jusqu’au prochain repas.
En revanche, il est inutile de donner des céréales à bébé dans les cas suivants :
Si bébé boit ses biberons sans problème et qu’il ne montre aucun signe de faim entre les repas.
Si bébé présente une prise de poids excessive.
Si vous avez des doutes ou des inquiétudes concernant l’alimentation de votre bébé.
N’oubliez pas que chaque bébé est différent et qu’il n’y a pas de règle absolue. Il est important de rester à l’écoute des signaux de votre bébé !
En résumé : les céréales infantiles peuvent être un complément utile à l’alimentation de bébé à partir de 4 mois, mais elles ne doivent jamais remplacer le lait maternel ou le lait infantile et ne doivent être données qu’en cas de besoin. (Oui oui ! Vraiment !)
Il n’y a pas d’âge recommandé pour donner de la viande le soir à bébé. Personnellement, je pense qu’entre 12 et 18 mois cela me semble correct 🙂
En effet, les besoins en protéines des bébés sont couverts par le lait maternel ou le lait infantile jusqu’à l’âge de 6 mois.
A partir de 6 mois, la diversification alimentaire peut commencer, et la viande peut alors être introduite progressivement, en commençant par des viandes maigres et tendres comme la volaille, le veau ou le lapin.
Il est important de privilégier la viande le midi, car elle est plus digeste que le soir.
Le soir, il est préférable de proposer à bébé un repas plus léger et facile à digérer, comme une purée de légumes ou un laitage
L’introduction des gâteaux dans l’alimentation de bébé doit se faire de manière progressive et raisonnée, en fonction de son développement et de ses besoins. Il est généralement recommandé d’attendre que bébé ait au moins 7 mois avant de lui donner des gâteaux (et 2 dents au moins). Attention ! Ce n’est pas une urgence !
Optez pour des gâteaux à la texture fondante qui se dissolvent facilement dans la bouche de bébé, comme les boudoirs, les biscuits fondants, les petits beurre. Les cracottes sont très bien pour les petits également ! Veillez toujours à ce que bébé soit assis lorsqu’il mange un gâteau, et surveillez-le attentivement. Pareil que les yaourts … inutile de prendre les gâteaux spéciaux pour bébé (qui sont duuuurs en plus), faites simple et efficace 🙂 !
N’oubliez pas que chaque bébé est différent et qu’il n’y a pas de règle absolue. Il est important de rester à l’écoute des signaux de votre bébé. Vous pouvez donner un gâteau à bébé en guise de goûter par exemple car riche en sucre (donc avec modération !).
En effet, pour les bébés, il est crucial de sélectionner des fromages répondant à des critères bien précis afin de garantir leur sécurité et leur santé digestive.
Vous pouvez également commencer par ajouter un Kiri, fromage fondu, Vache qui rit, St Moret … (réduit en sel) dans les purées pour une première approche ! 🙂
Voici donc une liste récapitulative des fromages à privilégier :
Fromages à pâte molle:
Fromage blanc: Naturel, sans sel ajouté et à la texture lisse, il est idéal pour une première approche.
Ricotta: Riche en calcium et à la saveur douce, ce fromage frais se prête facilement à diverses préparations.
Faisselle: Sa texture onctueuse et son goût légèrement acidulé en font un choix apprécié des tout-petits.
Saint-Nectaire jeune: Un fromage savoureux à introduire progressivement, en raison de sa teneur en sel légèrement plus élevée.
Brousse: Frais et fondant, il est parfait pour les tartines ou à déguster nature.
Fromages à pâte fraîche:
Mozzarella: Doux et légèrement élastique, ce fromage est idéal pour agrémenter salades, pizzas maison ou autres préparations.
Emmental jeune: Tendre et au goût prononcé, il se savoure nature ou fondu dans des plats chauds.
Gouda jeune: Sa saveur douce et légèrement noisette en fait un fromage apprécié des bébés.
Fromages à pâte pressée non cuite:
Tomme de vache: Onctueuse et au goût légèrement fruité, elle offre une texture agréable aux bébés.
Tomme de chèvre: Savoureuse et au goût prononcé de chèvre, elle est à introduire progressivement.
En plus de ces recommandations, il est important de :
Privilégier les fromages bio autant que possible, afin d’éviter les pesticides et additifs.
Vérifier la date de péremption avant de donner le fromage à votre bébé.
Conserver les fromages au réfrigérateur et les consommer rapidement après ouverture.
Les lipides, ou matières grasses, sont essentiels au bon développement de bébé. Ils fournissent de l’énergie, participent à l’absorption des vitamines liposolubles (A, D, E et K) et jouent un rôle important dans la construction du cerveau et du système nerveux.
Introduction des matières grasses :
Dès 4-6 mois, lorsque la diversification alimentaire commence, vous pouvez ajouter des matières grasses aux purées de bébé.
Commencez par de petites quantités, et augmentez progressivement en fonction de l’appétit et des besoins de votre bébé.
Choix des matières grasses :
Privilégiez les sources de matières grasses saines et insaturées, comme :
Huile d’olive vierge extra : riche en acides gras monoinsaturés et en antioxydants.
Huile de colza : riche en acides gras oméga-3, importants pour le développement du cerveau et de la vision.
Huile de noix : riche en acides gras oméga-3 et en acide alpha-linolénique (ALA), précurseur d’acides gras oméga-3.
Avocat : source de gras monoinsaturés et de fibres, et sa texture crémeuse se marie bien aux purées.
Poisson gras : comme le saumon, le sardines ou le cabillaud, 1 à 2 fois par semaine, cuit et écrasé en purée.
Vous pouvez également utiliser du beurre frais (non salé) en petite quantité, mais il est préférable de le donner cru après la cuisson pour préserver ses qualités nutritionnelles.
Il est tout à fait normal qu’un bébé n’aime pas un aliment, surtout lorsqu’il commence à diversifier son alimentation. Soyez patient et proposez l’aliment de différentes manières.
Rendez l’heure du repas agréable et positive.
Donnez l’exemple en mangeant varié.
Faites confiance à votre bébé et laissez-le manger à son rythme.
N’oubliez pas :
Ne forcez jamais et ne punissez pas.
En cas de doute, consultez un médecin ou un diététicien.
Avec du temps et de la patience, bébé finira par apprécier de nouveaux aliments !
La question du choix entre les aliments faits maison et les aliments du commerce pour bébé est un sujet récurrent qui préoccupe de nombreux parents. Il n’y a pas de réponse unique et absolue, car chaque option présente des avantages et des inconvénients.
Aliments faits maison :
Avantages : Contrôle des ingrédients, fraîcheur, variété, économique.
Inconvénients : Temps, organisation, connaissances, risque de contamination.
Aliments du commerce :
Avantages : Pratique, gain de temps, variété, facilité de transport, conformes aux réglementations.
Inconvénients : Moins de contrôle, moins frais, coût plus élevé.
Le choix dépend de vos besoins et de vos préférences.
Conseils :
Vous aimez cuisiner ? Optez pour le fait maison !
Vous manquez de temps ? Les aliments du commerce peuvent vous dépanner.
Alternez les deux !
Avant le repas :
Choisissez des aliments adaptés à l’âge et au développement de votre bébé.
Coupez les aliments en petits morceaux de taille adéquate. Évitez les aliments durs, ronds ou collants, comme les raisins entiers, les hot-dogs non coupés, les morceaux de viande crue, les carottes crues, les bonbons durs et les gommes à mâcher.
Assurez-vous que votre bébé est assis bien droit dans sa chaise haute et qu’il ne peut pas se pencher ou se lever pendant qu’il mange.
Surveillez votre bébé de près pendant tout le repas. Ne le laissez jamais manger seul sans surveillance.
Pendant le repas :
Encouragez votre bébé à mâcher lentement et soigneusement ses aliments avant de les avaler.
Apprenez à votre bébé à ne pas mettre trop de nourriture dans sa bouche à la fois.
Demandez à votre bébé de bien avaler sa nourriture avant de lui donner une autre bouchée.
Évitez les distractions pendant les repas, comme la télévision ou les jouets.
Si bébé s’étouffe réellement : Agissez vite et calmement !
1. Vérifiez si bébé respire :
Conscient ? Tapez entre les omoplates. Pas de réponse ? Appelez le 15 et faites la RCP pédiatrique.
Tousse et respire mal ?
2. Claques dans le dos :
5 claques vigoureuses entre les omoplates.
Objet dégagé ? Parfait ! Sinon…
3. Manœuvre de Heimlich :
Penchez bébé en avant, bras replié sur son ventre.
Placez votre poing fermé entre son sternum et son nombril.
Effectuez 5 compressions abdominales brèves et vigoureuses vers le haut.
Objet dégagé ? Super ! Sinon, alternez entre claques et compressions jusqu’à ce qu’il le recrache ou perde connaissance.
4. Bébé perd connaissance ?
Appelez le 15 et faites la RCP pédiatrique.
Continuez jusqu’à l’arrivée des secours ou qu’il reprenne connaissance.
L’introduction du pain dans l’alimentation de bébé doit se faire en tenant compte de son âge et de son développement. En général, il est conseillé d’attendre que le bébé ait au moins 6 mois (je pense que c’est un peu tôt, cela dépend du développement de votre enfant. 8 mois environ me semble plutôt correct, toujours selon les capacités de votre enfant) avant de lui donner du pain.
À cet âge, les bébés commencent à manger des aliments solides en plus du lait maternel ou du lait infantile.
Assurez-vous que votre bébé est capable de bien s’asseoir avec peu ou pas de soutien, peut contrôler sa tête et commence à faire des mouvements de mastication. Ces compétences sont souvent maîtrisées autour de 6 à 8 mois.
Privilégiez du pain complet ou semi-complet sans additifs, sel ajouté ou sucre. Le pain blanc est moins nutritif et peut être plus difficile à digérer pour un bébé.
Évitez les pains contenant des noix ou des graines entières qui pourraient présenter un risque d’étouffement.
Surveillez toujours votre bébé pendant qu’il mange pour prévenir les risques d’étouffement.
La grignoteuse bébé, souvent appelée « grignoteur bébé », est un accessoire de puériculture conçu pour aider les bébés à découvrir de nouveaux aliments solides en toute sécurité.
Avantages :
Sécurité : Empêche les risques d’étouffement.
Découverte des saveurs : Aide les bébés à explorer de nouvelles textures et saveurs.
Soulagement des gencives : Apaisement lors de la poussée dentaire avec des aliments froids.
Autonomie : Encourage à manger seul, favorisant le développement moteur.
Inconvénients :
Entretien : Nettoyage parfois difficile.
Limitation des aliments : Certains aliments ne conviennent pas.
Dépendance : Peut compliquer la transition vers la mastication classique.
Conseils :
Choix des aliments : Privilégier fruits et légumes adaptés.
(!) Nettoyage : Démontage et lavage soigneux après chaque usage.
Surveillance : Toujours surveiller l’enfant pendant qu’il mange.
En résumé, la grignoteuse est un outil utile mais demande un entretien régulier et une supervision attentive.
Le HCSP recommande d’éviter toutes les charcuteries sauf le jambon blanc jusqu’à 3 ans et le PNNS 4 conseille de limiter leur consommation entre 3 et 18 ans. Introduisez ces aliments avec prudence après 12 mois, en choisissant des produits artisanaux, bien cuits, sans sel ajouté, et en les proposant occasionnellement en quantités contrôlées.
La charcuterie suscite des débats en raison des nitrates et nitrites de sodium, surtout dans les jambons. Les artisans charcutiers peuvent réduire ou éliminer ces additifs en utilisant des assaisonnements naturels, mais le sel, souvent en quantités excessives, reste un problème. La charcuterie contient également beaucoup de graisses saturées et moins de protéines que la viande classique.
💡 Les petits plus à savoir : le boudin noir cuit est une excellente source de fer – et la vitamine C des fruits frais est un puissant anti-oxydant qui réduit l’effet négatif des nitrites sur la santé. Pensez à l’ajouter au même menu ! (https://www.cuisinez-pour-bebe.fr/)
Voici une recette simple pour préparer une purée de carottes pour bébé dans le cadre de la diversification alimentaire : (Valable avec d’autres légumes également) 🙂
Ingrédients :
2-3 carottes moyennes
Eau (pour la cuisson)
Instructions :
Préparation des carottes :
Lavez soigneusement les carottes.
Épluchez les carottes et coupez-les en rondelles ou en petits morceaux pour une cuisson plus rapide.
Cuisson :
Placez les morceaux de carottes dans une casserole.
Ajoutez suffisamment d’eau pour couvrir les carottes.
Portez l’eau à ébullition, puis réduisez le feu et laissez mijoter pendant environ 15-20 minutes, jusqu’à ce que les carottes soient tendres. Vous pouvez vérifier la tendreté en piquant les carottes avec une fourchette.
Mixage :
Égouttez les carottes en réservant un peu d’eau de cuisson.
Placez les carottes cuites dans un mixeur ou utilisez un mixeur plongeant pour les réduire en purée.
Ajoutez un peu de l’eau de cuisson réservée pour obtenir une consistance lisse et adaptée à votre bébé. Ajoutez plus ou moins d’eau selon la consistance souhaitée.
Service :
Laissez la purée refroidir à une température adaptée avant de la servir à votre bébé.
Conseils :
Conservation : Vous pouvez conserver la purée de carottes au réfrigérateur dans un récipient hermétique pendant 2-3 jours, ou la congeler en petites portions pour une utilisation ultérieure.
Variantes : Une fois que votre bébé s’habitue à la purée de carottes, vous pouvez mélanger cette purée avec d’autres légumes pour varier les goûts et les textures. Les mélanges de légumes se font pus tard, lorsque bébé à déjà goûter un bon nombre de légumes seuls ! 🙂
Cette purée simple et nutritive est idéale pour initier votre bébé aux saveurs des légumes tout en douceur.
N’hésitez pas à me contacter en commentaire ou sur ma page Facebook si vous avez des questions concernant la diversification alimentaire (ou autre) ! Je me ferai un plaisir de vous répondre, promis juré, pas de réponse automatique générique ici !